Dans la presse
Les interviews de l'an 2003
:

Le Parisien (lundi 17 février 2003)
La dépêche du Midi (dimanche 20 octobre 2003)

Toulouse métropôle - dépêche du Midi (dimanche 9 février 2003)
La dépêche du Midi (dimanche 13 avril 2003)
info yahoo (mardi 29 mai 2003)
VSD (vendredi 30 avril 2003)
L' Etudiant (juin 2003)
interview tiscali (mai 2003)
La dépêche du Midi (dimanche 25 mai 2003)
une photo de Cannes
Questions d'internautes Tiscali (juin 2003)
6 photos de Cannes
Ici Paris (21 juillet 2003)
Ciné Revue (7 août 2003)
Men's Health (novembre 2003)   

Le Parisien, lundi 17 février 2003

ILS VOUS LE CONSEILLENT
La cantine préférée de Franck Dubosc


SI VOUS CRAQUEZ pour le regard bleu acier de Franck Dubosc, c'est au Durand-Dupont que vous aurez le plus de chance de le croiser. L'humoriste séducteur de la bande à Ruquier a fait de cette brasserie branchée de Neuilly (92) sa cantine préférée. « C'est un endroit où l'on se sent vraiment bien et où l'on est toujours accueilli avec le sourire », confie Dubosc. « Je prends toujours un verre de rosé en apéritif, puis des artichauts avec une sauce à la moutarde absolument divine, et je termine par des sashimis de thon. » Un repas « tout simple » mais « vraiment bon ». Et, en ce moment, c'est avec son fidèle complice Elie Semoun qu'il vient ici pour travailler la prochaine cassette des « Petites Annonces », surtout en fin de matinée, autour d'un café...
Géraldine Thomas

Durand-Dupont, 14, place du Marché à Neuilly (92). M o P t e -Maillot ou Sablons. Tél. 01.41.92.93.00. Compter 30 € le repas.

source  : merci Caro

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Dépêche du Midi (dimanche 20 octobre 2003)

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Dépêche du Midi (dimanche ?? 2003)

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Dépêche du Midi (dimanche 13 avril 2003)

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Frank Dubosc fait tout pour son public

PARIS (AP) -- Le comique Franck Dubosc a réuni mardi soir quelques amis pour leur présenter en avant-première son DVD "Pour toi Public" au "Planet Hollywood", où il a également été procédé à la prise d'empreintes de ses mains comme le veut la coutume.

"Que de chemin parcouru depuis 'A nous les garçons'", s'est-il confié à l'Associated Press. "En grandissant, j'ai appris à m'accepter tel que j'étais, en me moquant d'abord de moi-même. Toutes ces années, dont celles passées à collaborer avec Elie Semoun, font qu'aujourd'hui je suis enfin bien dans ma peau".

Le DVD en question est une galerie de personnages joué par le comique, parmi lesquels "la star", "le ringard", "le con" ou le "danseur disco". Chacun des 18 sketches est ponctué d'interludes où apparaissent Steevy, Raphaël Mezrahi ou Julien Courbet qui en prennent à leur tour chacun pour leur grade, en acteurs improvisés et nullissimes dirigés par Dubosc. Patrice Carmouze, Dany Brillant, Virginie Lemoine, Patrick Braoudé et Gérard Miller, le psy de la bande à Ruquier, étaient présents lors de cette projection. AP

source : Marie-Pierre de la ML

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VSD 30 avril 2003

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L'Etudiant juin 2003

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source : http://www.campus.be/partenaire/index.cfm?in=frankfr et Fred !

Quand vous conversez avec Franck Dubosc, ce qui frappe d’emblée, c’est son ton sérieux et uniforme. Franck est capable de vous faire croire n’importe quoi, tant il mélange allégrement les anecdotes vécues aux souvenirs imaginaires, les bons mots aux vérités concrètes. Bien sûr, on ne sait qu’il rigole que lorsqu’il sort une horreur dont il a le secret. Une horreur qu’il a minutieusement préparée ; une de celle qui vous vous fait sortir un « oooooh, il a osé…. ». Et puis, on se prend au jeu, et on s’aperçoit qu’on fini par les attendre… ces choses affreuses qui nous font tellement rire… Quand on le rencontre, il peut vous regarder, droit dans ses yeux bleus d’inénarrable sentimental-Macho et vous dire, comme dans son spectacle : « Bonjour, je suis Franck Dubosc». Entretien.

Bonjour Franck. Tu es déjà venu souvent chez nous en spectacle et on a aussi pu te voir comme présentateur de l’élection de Miss St Louis. Alors, cela c’est passé comment cette soirée ?
C’était assez fou. Le public était déchaîné et c’était sympa d’être dans cette euphorie même si j’ai plutôt l’habitude de travailler dans des conditions un peu plus cadrées. Mais, là c’était assez rigolo. 

Aujourd’hui, combien de personnes ont vu ton spectacle ? 
Entre 250.000 et 300.000 ! 

C’est une belle réussite ça !
Oui. Je ne m’attendais pas à en réunir autant. D’autant que la première fois où je l’ai joué, il devait y avoir sept personnes dans la salle. Donc, oui, c’est une belle réussite ! C’est pour cela que je veux l’arrêter parce qu’il faut que je prépare le prochain. 

Et tu as déjà des idées pour le suivant ?
Oui, même plus que des idées ! Je suis en train de l’écrire. En fait, j’avais déjà commencé à faire le deuxième avant le premier… C’est vrai… A l’époque, je m’étais interdit de mettre quelques sketchs dans le premier spectacle pour pouvoir les inclure dans le deuxième… Bien sûr, je ne dévoile rien en disant que c’est toujours Franck Dubosc que je mettrai en scène. Je ne connais pas encore le titre, mais je vais peut-être essayer de dire que je suis devenu romantique (rires)… Ce sera peut-être même le titre. Si j’avais la chance de pouvoir le faire, je me mettrais sur l’affiche en train de bander…(rires)… Non je ne le ferai pas parce que j’ai du respect pour les gens… 

Cela dit, cela se fait de plus en plus sur les affiches de spectacle. Finalement vous êtes resté assez sobre, vous.
Et bien dans le prochain spectacle, je le serai peut-être encore plus. Peut-être que ce sera un cœur même… Ce n’est pas que je veuille aller à l’envers des autres, parce que j’admire ce que fait quelqu’un comme Bigard . Mais ce type de provoc’, ça lui correspond bien. Quand Jean-Marie pousse à fond en disant qu’il met le paquet en s’affichant avec une énorme paire de burnes, c’est bien, parce qu’il sous-entend : « vous me dites que je suis comme cela, et bien je vais vous en montrer… » 
Maintenant, c’est bien de le concevoir d’une autre façon aussi. Moi, je déconne avec l’amour, et je donne un gros cœur. Bien sûr, si on pousse le cœur, il y aura peut-être une paire de testicules cachées derrière (rires)... De la même manière, si on pousse le paquet de Bigard, il y a un cœur derrière. 

Est-ce que le fait de travailler en radio et en télé t’a apporté quelque chose au niveau de l’écriture ?
Pas vraiment. L’écriture d’un One Man Show est complètement différente d’une écriture radio-télé, instantanée, rapide, pour le lendemain. Par contre, grâce à cela, je me rends compte de ce que j’ai envie d’écrire ou pas. Les fois où j’ai écrit rapidement, c’est souvent des choses un peu vulgaires ou un peu méchantes. En les faisant, je me rends compte qu’il ne faut pas que j’aille vers cela. Mais l’urgence m’a fait aller vers la simplicité. C’est cela aussi la télé et la radio : on a tendance à confondre souvent efficacité avec vulgarité. 

J’aimerais qu’on revienne à ton parcours. La dernière fois qu’on s’est rencontré, tu m’avais dit qu’un journaliste avait écrit à ton propos : « Star à vingt ans, quasi- inconnu à trente, et jeune qui monte à trente-huit. ». Mais quel a été ton parcours d’étudiant jusqu’à vingt ans? 
Et bien j’ai passé mon bac, et puis je suis parti au conservatoire de Rouen, et en même temps, j’ai fait la fac d’anglais. 

Est-ce que tu étais déjà un bosseur à l’époque ?
Oui, à l’école j’étais très bosseur. Je voulais arriver à être deuxième de la classe, parce que le premier c’est celui qui avait les boutons (rires)... Ce qui ne m’empêchait pas d’avoir les boutons quand-même et les lunettes en écailles (rires)... A l’époque, comme les filles ne s’intéressaient pas à moi, je n’avais pas grand chose d’autre à faire que de travailler. Et puis, après, le bac, je suis rentré au conservatoire et en fac d’anglais en même temps. 

C’est au conservatoire que vous avez rencontré Valérie Lemercier et Virginie Lemoine ?
Oui, et Karine Viard. Cela dit, cela ne m’a rien apporté parce que c’est moi qui ai travaillé le premier. En fait, j’ai arrêté pratiquement tout de suite la fac d’Anglais parce qu’il y avait un cour qui s’appelait « Civilisation nord américaine ». Tout le monde devait expliquer pourquoi il avait choisi l’anglais. Certains disaient qu’ils avaient vécu là-bas, d’autres avaient un père américain, etc… Et je me suis dit qu’un jour, j’allais devoir avouer à la classe que j’avais appris la langue en draguant les hollandaises en Camping. Donc, j’ai juste continué le conservatoire. A 20 ans, j’ai fait mon premier film, « A nous les garçons », et puis après j’ai enchaîné une trentaine de films et de téléfilms. Enfin, je suis parti travailler en Angleterre. 

C’est quand même grâce à cela que vous êtes devenu une star de l’autre côté de la manche tout de même !
Star, c’est un grand mot. C’est vrai que j’ai fait une série qui a très bien fonctionné. C’est une série qui avait trente ans d’existence quand j’y étais et qui fonctionne encore aujourd’hui. Donc c’est un soap qui doit avoir quarante ans d’antenne. C’est probablement le plus vieux feuilleton du monde , mais c’est vrai que cette série a 22 millions de téléspectateurs à chaque diffusion, deux soirs par semaines. Et donc en Angleterre, j’ai été longtemps « Patrice of Coronation Street ». Mais si j’avais été une star, on saurait encore qui je suis, alors qu’aujourd’hui, quand je rencontre un anglais, je suis obligé de lui rappeler que j’ai joué dans la série. 

Est-ce que c’est une grande famille l’humour en France ou, est-ce que vous ne vous connaissez pas du tout ?
Et bien, on se connaît, mais ce n’est pas vraiment une famille. En fait, je n’ai aucun contact avec les autres humoristes, à part avec Eli Semoun, qui est un copain. Cela dit, c’est explicable parce qu’on est sur scène souvent en même temps. Donc, on ne peut pas aller se voir, et forcement on est peu en contact l’un avec l’autre. Et puis, on est toujours un mauvais public les uns pour les autres. Vous n’avez jamais remarqué qu’on disait beaucoup de bien les uns des autres. Quand c’est comme cela dans un corps de métier c’est qu’il y a un problème…(rires). Croyez-moi… Et donc vous ne m’entendrez pas dire de mal d’aucun de mes collègues… Y en a que j’adore…(rires). 

Pendant vos études quel a votre meilleur souvenir ?
Je n’ai pas tellement de bons souvenirs de mes études parce que je n’aimais pas cela. Je me souviens d’une fois où j’étais parti aux sports d’hivers. J’avais brossé les cours et j’avais déposé un mot d’excuse qui parlait d’enterrement, mais j’étais revenu bronzé avec la marque des lunettes… (rires). Le type m’avait demandé où ce passait l’enterrement et j’avais répondu en Bretagne… Il faut dire qu’à l’époque, on mettait de grosses lunettes de soleil, le genre qui vous empêche d’avoir mal aux yeux des joues… (rires). 
Je crois que le pire de mes souvenirs, c’était quand j’étais en seconde, parce que j’avais une mobylette et que dans le lycée où j’étais, on se faisait toujours voler l’essence. Donc j’avais trouvé un garage pour placer ma mob’, mais il se trouvait à un kilomètre du lycée, donc franchement, si j’y étais allé à pieds, c’était pareil. Cela dit, je ne me suis jamais fait voler d’essence. (rires). 

Vous sortez un DVD ? Est-ce qu’il y aura des bonus tracks ?
Oui, bien sur. Mais vous savez, moi, j’ai même mis un bonus sur la cassette. Comme je dis dans la cassette : « Il n’y a pas de raison qu’il n’y aie que les riches qui aient un bonus » et puis pour le DVD, je dis « Au moins, il y a des choses que les pauvres n’auront pas ». (rires). Oui, il y a des bonus : le « making of », un sketch fait par ma mère, un bêtisier supplémentaire, etc… Ah oui, il y a quelque chose qui s’appelle « j’ai vomi, j’ai pété, et alors ? » (rires)… 
C’est vrai qu’il faut jouer avec cela aujourd’hui. Les gens commencent à prendre l’habitude. D’autre part, si j’ai gâté la cassette, c’est parce que ma mère n’a pas de DVD …(Rires) 

Vous avez un rapport bizarre avec votre maman ? (rires)
Ben, j’aime beaucoup ma mère…

Est-ce que tout ce que vous racontez dans le spectacle est vrai ?
Non, bien sûr. Dans le spectacle, au moment de la Boum, par exemple, je dis que je largue une fille parce qu’elle tourne la langue beaucoup trop vite, et qu’en plus elle n’ouvre pas la bouche. C’est entièrement faux. En fait, j’aurais bien voulu avoir une fille; même une comme celle là. Je n’étais pas du tout le séducteur que je raconte. Dans le prochain, ce sera peut-être un peu plus vrai, mais comme j’ai fait croire que tout était vrai il n’y aura pas une grosse différence. 

Merci Franck.

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Dépêche du Midi (dimanche 25 mai 2003)
Jeudi, Franck à la montée des marches du festival de Cannes 2003...

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(NB: l'information à propos du film est fausse.)

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Questions des internautes de tiscali posées à Franck en juin à Cannes :

vidéos de l'interview :
Interview - Haut débit
-
Interview - Bas débit

Franck Dubosc 

ANGE OU DEMON ?
Après deux ans passés sur les planches, c’est en vidéo, VHS ou DVD, que l’on retrouve Franck Dubosc. Déguisé en ange, il vous guide dans la série de programmes courts qui composent Pour toi, Public. C’est du Festival de Cannes qu’il a répondu à vos questions.

Tiscali - 5 Juin
Pourquoi avoir réalisé ce DVD et écrit spécialement des sketches pour cette édition ? 

Franck Dubosc: L’envie surtout de rester proche de mon public entre deux spectacles, d’être toujours présent puisque je viens de terminer le premier et que je suis en train d’écrire le second. Également toujours ce besoin de plaire, de séduire ! J’ai tourné les Pour toi public alors que j’étais en tournée, c’est une façon de donner sa photo en disant aux spectateurs, tenez je vais m’absenter un petit peu mais ne m’oubliez pas, je reviendrai. Parallèlement, tourner en extérieur, dans un camping, sur un voilier, dans une forêt, sur un parking… un peu partout, comme je l’ai fait là, fut pour moi une véritable expérience, une nouvelle approche. Je pouvais proposer des gags qu’il m’était impossible d’orchestrer sur scène, donc comme je voulais que ce soit inédit, c’était parfait. 

Tiscali - 5 Juin
En leur donnant ainsi des conseils, tu as le sentiment d’être plus proche des spectateurs ? 

Franck Dubosc: Ce sont de faux conseils, je n’arrête pas de déconner donc en ce sens je ne me sens pas plus proche d’eux mais j’essaie de rester en relation avec eux. C’était vraiment pour s’amuser ensemble. Depuis des années j’adore jouer avec ma petite caméra, je me suis juste offert le luxe d’avoir une caméra un petit peu plus grande. C’est sûr qu’ils peuvent ainsi me garder auprès d’eux et j’ai en fait découvert ce support, la DVD… Le ou la DVD d’ailleurs ? Il faudrait que je le soulève un jour afin de voir s’il y a des petits testicules en dessous : s’il y en a, c’est un DVD ! J’ai pris beaucoup de plaisir à le faire mais la proximité du public m’a néanmoins manqué et, attention, s’ils ne sont plus obligés de se déplacer aujourd’hui, pas de conneries, je les attends, ils doivent venir me voir sur scène ! 

Tiscali - 5 Juin
Tu as pris du plaisir à monter tous ces petits compléments, notamment ceux avec ta mère, qui accompagnent les sketches ?

Franck Dubosc: C’est formidable, on m’offre un objet avec lequel je peux jouer, j’en ai profité. J’avais envie de tout mettre, il a fallu m’arrêter ! J’étais prêt à y inclure mes films de vacances. Je désirais également que ma mère participe à cette aventure, cette année a en effet était assez spéciale pour moi : j’ai fait l’Olympia, le Zénith, ce DVD... J’ai été vraiment sur le devant de la scène et en même temps j’ai perdu mon père, je me suis donc rapproché de ma mère et je désirais l’avoir près de moi, au cœur de ce DVD. Je lui ai donc fait jouer un sketch mais je l’ai coupé au montage, ce qui était plutôt difficile à lui annoncer. Heureusement, on la retrouve dans les bonus donc tout va bien. Et puis j’avais, comme toujours, envie de déconner. 

Tiscali - 5 Juin
Vous trouvez facilement des idées de sketches ? 

Franck Dubosc: Non, ce n’est pas forcément évident d’autant plus que j’ai arrêté de fumer et surtout que je suis devenu très exigent. À l’origine, je l’étais moins, j’écrivais seulement pour moi. Aujourd’hui, il faut trier. Il y a l’inspiration et l’expiration et je n’expire pas tout ce que j’inspire… Je viens de dire quelque chose de tout à fait extraordinaire, si j’avais un stylo je le noterais. Ça c’est moi, voilà, je viens d’être extraordinaire. Attention, il peut se passer désormais deux ou trois mois avant que je ne le sois à nouveau ! 

Tiscali - 5 Juin
Puisque tu donnes des conseils au public, les internautes de Tiscali aimeraient connaître tes secrets de séduction ?

Franck Dubosc: Alors pour une fois je vais être sérieux, c’est un vrai conseil : pour séduire une femme, il faut l’étonner. Par exemple, si j’invite une femme à dîner, étant humoriste, il ne faudra surtout pas que je cherche à la faire rire, c’est mon métier. Il faudra au contraire que j’essaie de l’émouvoir, de l’attendrir et qu’elle se dise, en sortant du dîner, "et en plus il a un cœur gros comme ça". C’est toujours le plus qui plaît aux femmes. Un homme qui a tendance à être plutôt quelqu’un de grave, de sérieux, devra chercher à la faire rire, elle se dira "et en plus il est drôle". Il faut toujours surprendre, le plombier devra parler de poésie, le poète de plomberie… Le coiffeur peut en revanche parler de coiffure, ça leur plaira.

schnuggy - 12 Mai
Et vous, qu’est-ce qui vous fait craquer chez une femme ?

Franck Dubosc: J’adore qu’une femme prenne des initiatives et me surprenne. J’adore me faire draguer, ce qui est très rare. Cela a dû m’arriver seulement deux ou trois fois. Physiquement, je regarde d’abord les cheveux d’une femme et, quand elle s’en va, bien évidemment ses fesses. Je raffole des jupes courtes, des jambes des femmes.

Tiscali - 5 Juin
Tu as endossé le costumes d’un ange pour présenter ce DVD, en es-tu réellement un ?

Franck Dubosc: Il paraît que les anges n’ont pas de sexe et j’avais très envie de surprendre ! En fait, je ne me suis pas vraiment posé la question. J’aimais bien les ailes, la blancheur du costume, ce petit côté mutin, "tiens salut les filles". Je suis peut-être un ange et en même temps un enculé ! Ma devise : jamais honnête, toujours sincère !

quelqu'un de ton public - 17 Mai
Y a t-il un ou des humoristes qui vous inspirent ?

Franck Dubosc: Non, il n’y en a pas un que j’aime plus particulièrement. En fait, lorsque l’on me posait cette question avant, j’essayais de trouver quelques noms et puis je me suis rendu compte que je ne faisais jamais partie de ceux que ces humoristes citaient lorsqu’on leur posait la même question ! Il y a des gens que je trouve très fort mais qui m’inspirent, non.

Smartinho - 17 Mai
Des prochaines Petites annonces avec Elie Semoun ? 

Franck Dubosc: On vient de terminer la sixième cassette qui sortira à Noël. D’ailleurs, pour revenir à la question précédente, Elie est quelqu’un de très fort mais j’écris les spectacles avec lui, je ne peux donc pas le citer comme modèle. 

Evilain - 17 Mai
Est-ce difficile de se glisser dans la peau d’autant de personnages ? 

Franck Dubosc: Je ne me glisse pas dans la peau d’un personnage, c’est le personnage qui se glisse en moi. Autrement, on pourrait tous jouer les mêmes rôles. J’essaie de voir comment je suis et de voir comment ce personnage pourrait être avec ma voix, ma personnalité, ma démarche. Dans les petites annonces par exemple, on met des déguisements mais on essaie justement de faire en sorte qu’on nous reconnaisse derrière ces déguisements. J’essaie toujours de donner beaucoup de moi afin que le personnage soit marqué par mon identité. 

jack ryan - 17 Mai
Comptes-tu donner une suite à l’un des ces deux sketches, El Tyranos et Sandy Kilo ? 

Franck Dubosc: Non, je ne vais pas faire de suite pour El Tyranos même si on retrouvera dans certains sketches une atmosphère similaire. En revanche, je vais retrouver Sandy dans une soirée. Elle n’a pas maigri et je l’aperçois près du buffet. Je lui donnerai le numéro de téléphone d’un copain, je la pousserai dans l’eau… J’aime beaucoup Sandy. 

tygwen - 12 Mai
L’émission Nice People, tu comptes vraiment y participer ou ce n’est qu’une rumeur ? 

Franck Dubosc: C’est une rumeur, je n’ai pas le temps et je ne les connais pas, donc franchement ça ne m’intéresse pas. Ce serait plutôt amusant mais si ce n’était pas filmé ou en tout cas pas diffusé. J’ai regardé quelques émissions et je trouve les garçons surfaits. Le Français, honnêtement, je n’aime pas critiquer mais il n’est pas très net. J’ai également vu un gentil qui sortait… Vous voyez je suis un assidu , donc ce n’est pas la peine que j’y aille.

Tiscali - 5 Juin
Etre à Cannes pendant le festival, un passage obligé ?

Franck Dubosc: Non, pas vraiment. C’est sympa d’y être, de profiter du Festival pour faire la promo du DVD. Il y a du monde, des jolies filles, le soleil, mais ce n’est pas un passage obligé. Je ne suis pas une star de cinéma. Cannes, c’est surtout énormément de souvenirs. J’y suis venu quatre fois l’an passé parce que je faisais l’émission de Laurent Ruquier, une période difficile puisque j’ai perdu mon père et d’être ici m’a permis de penser à autre chose. Et puis il y a eu les premières fois où je suis venu à Cannes, avec Karin Viard, qui aujourd’hui est membre du jury officiel. Nous avions 17 ans, nous étions des jeunes comédiens. Je me suis ruiné pour lui payer un petit déjeuner dans un grand hôtel, c’est tout plein de souvenirs sympas. 

mimivar - 17 Mai
Les projets ?

Franck Dubosc: Je vais tourner dans le film de Marie-Anne Chazel à la rentrée et on va normalement monter le film des Petites Annonces avec Elie, un gros projet. Le prochain spectacle sera pour septembre 2004 au Bataclan et avant en avril dans le Sud de la France.

source : http://actu.tiscali.fr/lemagazine/default.asp?id=170

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source http://photosnm.nm-active.com/detail.php et Emi

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Ici Paris (21 juillet 2003)


source : Tim de la ML

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Ciné Revue (7 août 2003)

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Men's Health (novembre 2003)

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© DOUBOUC Company Corporation, sept 2002